SHeikh ’Abdel-Karîm al-Khoudheîr (qu’Allâh le préserve)


samedi 4 avril 2009, par Ismaïl



Bismillehi ar-Rahmâni ar-Rahîm

Il a été demandé à SHeikh ’Abdel-Karîm al-Khoudheîr (qu’Allâh le préserve) un avis sur le fait de la divergence de point de vue entre les savants au sujet d’une question, où certains disent : « Bien, la question étant divergente, je vais choisir l’avis le plus facile à pratiquer. » Et est-ce que cette façon de faire est authentique ? Si elle ne l’est pas, comment se faire un avis sur les questions divergentes ?


SHeikh ’Abdel-Karîm al-Khoudheîr (qu’Allâh le préserve) a dit qu’il n’est pas authentique de la part du musulman de choisir le plus facile des dires (des savants) puisque cette façon de faire le poussera à négliger l’ensemble ou la plupart des obligations religieuses.

 

En effet, à l’exception des piliers de l’Islâm, la plupart des questions religieuses font l’objet d’une divergence. Il était dit à l’époque : « Quiconque se contente des avis dispensatoires deviendra renégat. » L’on doit choisir celle des opinions des savants la mieux argumentée, si l’on a la compétence requise pour pouvoir comparer les avis et les étudier.

 

Si l’on ne possède pas cette compétence, on doit suivre l’avis de celui qui, parmi les savants, s’avère le plus savant, le plus pieux et le plus scrupuleux. [1]


Notes

[1] Tiré du site : www.khudheir.com

 

 

Source :

 

http://www.manhajulhaqq.com

 


Tag(s) : #Fatwas
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